C’est un euphémisme de dire que le métier d’un coach est complexe et requiert de nombreuses qualités aussi bien personnelle, relationnelle que professionnelle. Un coach se doit en effet d’être le modèle pour ses clients.
Le coaching n’est en aucun cas une improvisation. Même si une aisance naturelle pour la psychologie humaine est souhaitée, le métier de coach demande une aptitude particulière. Prenons le cas des coachs d’affaires. Il leur est fondamental de bien cerner tout ce qui concerne l’organisation de l’entreprise pour analyser les situations de manière optimale afin de ne pas se tromper dans la prise de décision. La plupart du temps, les dirigeants recourent à un coach consécutivement à un constat de faiblesse personnelle et souvent professionnelle de ses salariés. Pour sa part, le consultant en entreprise accompagne ces derniers pour corriger les imperfections attestées.
La tâche ne s’avère pas élémentaire. Il ne s’agit pas seulement de conseiller le client puisque le but du coaching est vraiment d’enseigner à ce dernier un nouveau mode de vie afin que celui-ci se persuade lui-même de l’importance de ce qui est vitale dans le monde du travail : la motivation. Au terme des séances, l’aboutissement du coaching est la métamorphose du client en une personne armée de nouveau principe et dotée surtout d’une vision plus claire de la réalité, celle-ci orientée vers la positivité.
Vu l’accroissement considérable du besoin en coaching et son extension à plusieurs domaines, la formation en coaching intéresse indiscutablement de plus en plus de gens. Pour cela, plusieurs écoles de coaching ont vu le jour. La sélection n’est pas d’autant facile quoique des critères tels que les cadres régissant la formation peuvent (mode subjonctif avec quoique) faire de référence pour les intéressés.
