Comment intégrer les métiers de l’agriculture ?

Que vous souhaitiez vous concentrer sur l'agriculture ou l'agro-industrie, vous avez de nombreuses options. Ces départements peuvent aller du CAP au bac +5. L'enseignement public vient du ministère de l'Agriculture et constitue le deuxième volet de l'enseignement français.

Des débouchés variés pour les spécialités de BTSA  

Le BTSA est préparé depuis plus de deux ans, principalement dans les lycées pour les cultures. C'est le diplôme phare dans ce domaine, avec plus de 30 000 étudiants participants. Il dispose de 20 options, réparties en 6 départements spécialisés : production, transformation, développement, service, commerce et équipement agricole. Certains cours sont très sélectifs, mais vous aurez toutes les opportunités dans les métiers de l agriculture technique BTSA exigé par le constructeur comme. La formation comprend des modules communs aux BTSA et d'autres modules, spéciaux à chaque option. De plus, il y a une période de stage de 12 à 16 semaines. Les débouchés sont nombreux et variés : chefs d'exploitation, vignerons, jardiniers. Désormais, plus de la moitié des diplômés poursuivent leurs études en licences professionnelles ou écoles d'ingénieurs. Bien que l'enseignement dans les écoles publiques soit gratuit, les frais de scolarité dans les écoles privées peuvent atteindre 4 000 euros. Autres formules possibles : préparer le BTSA pendant l'apprentissage et autoriser les apprentis rémunérés. L'agriculture est une industrie en pleine croissance, et de plus en plus de jeunes diplômés sont recrutés dans divers domaines tels que le matériel agricole et l'agroalimentaire. En matière de formation, la diversité est également essentielle, du CAP au Master en passant par les BTS, les DUT et les écoles d'ingénieurs. Vous n'aurez que l'embarras du choix !

La préparation en agro-véto : accès aux grandes écoles

La préparation de veto agricole, également appelée BCPST, permet l'entrée en Faculté d'Ingénieurs, Faculté de Médecine Vétérinaire ou ENS (Université Normale de Paris) après avoir réussi les différents concours. Une dizaine de lycées se préparent au droit d'exploitations agricoles. La sélection se fait dans le fichier lors du terminal. Le niveau d'éducation dans les matières scientifiques est crucial. Concernant les cours de préparation à la première année : dix heures par semaine pour la biogéologie, huit à neuf heures pour les mathématiques, quatre heures pour la physique, trois heures pour la chimie, deux heures pour la philosophie et le français. Le rythme continu complété par le TIPE (Travail Actif Individuel Supervisé) correspond au démarrage de la recherche. Il existe dix classes préparatoires à la tuberculose. Elles sont destinées aux titulaires de licences STL (laboratoire sciences et technologies) ou STAV (agronomie et sciences et technologies du vivant). Bien que les composantes des mathématiques et de la chimie physique ne puissent être ignorées, vous étudierez principalement la biotechnologie et la science de la terre et de la vie. Après deux ans de préparation, vous pouvez passer les concours d'entrée de trois écoles vétérinaires et écoles pour les agriculteurs.

Les écoles pour l'agronomie post-bac

Les six écoles du réseau FranceAgro3 ont d'abord recruté des diplômés en sciences et technologies et les ont formés comme ingénieurs agronomes pendant cinq ans : ESA à Angers, ISA à Lille et Lyon ISARA. Ils choisissent les fichiers et les maintiennent. De nombreux stages s'étalent sur cinq années d'études. Plusieurs établissements du ministère de l'agriculture ont créé conjointement de grandes écoles qui donnent un enseignement aux métiers de l'agriculture, agronomie ou agroalimentaire. Autres groupes : École d'ingénieurs et École de médecine vétérinaire. Pour y accéder, c’est conseillé de réussir un concours dans la bibliothèque du concours commun "agro-véto", qui s'adresse aux élèves prêts au BCPST ou à la tuberculose (attention toutes les écoles ne reconnaissent pas la tuberculose). Elle organise également des concours pour les titulaires de BTS, DUT ou diplômés. Certaines écoles sont disposées à suivre leur cycle d'ingénieur sur la base de contrats d'apprentissage.